Je pourrais faire comme d'habitude, et enjoliver la (triste) vérité. Vous me connaissez, vous savez bien que j'ai tendance à me donner le beau rôle, et à minimiser mes défaillances dans mes comptes rendus de courses. Sauf que samedi, je jouais à domicile, et que tout le monde a pu se rendre compte...
L'avantage de courir chez soi, c'est que c'est plus rapide après la course pour aller se cacher.
Je pense que le terme "minable" résume ma course de samedi dernier. Et encore le terme minable me semble flatteur. Pourtant toutes les conditions étaient réunies : une météo clémente pour un mois de Janvier, une organisation nickel, et surtout un beau et grand moment d'émotion au moment du départ.
Pour parfaire le truc, THE groupe jouait sur le parcours : ici et lui
et je leur avais demandé de jouer mon morceau culte : CowBoy Bebop !
Vous me croirez (ou pas) mais quand je passe devant eux, ils étaient exactement calé sur mon chrono prévisionnel ! Donc, jusque là tout allait bien. Sauf qu'il restait la moitié de la course à faire. Et que ça c'est sérieusement gâté.
Je vous épargne les détails, c'était pathétique. Mes petits camarades de clubs qui assuraient la sécurité sur le parcours avaient honte en me voyant passer. Certains m’encourageaient gentiment, d'autres préféraient détourner le regard.
Après la course, quelques amis m'ont fait remarquer que je m'étais levé très tôt pour aller bosser, et que j'avais pris le départ sans avoir avalé ne serait-ce qu'un café depuis la veille. D'autres ont fait remarquer que l'an dernier, il m'aurait fallu un vélo.
Quand je pense que dans 2 mois je suis censé courir pendant 42km, j'ai le vertige... Ca me fait penser à un truc : pour lutter contre le vertige, les alpinistes se servent de grandes rasades de vin chaud.
L'avantage de courir chez soi, c'est que c'est plus rapide après la course pour aller se cacher.
Je pense que le terme "minable" résume ma course de samedi dernier. Et encore le terme minable me semble flatteur. Pourtant toutes les conditions étaient réunies : une météo clémente pour un mois de Janvier, une organisation nickel, et surtout un beau et grand moment d'émotion au moment du départ.
Pour parfaire le truc, THE groupe jouait sur le parcours : ici et lui
et je leur avais demandé de jouer mon morceau culte : CowBoy Bebop !
Vous me croirez (ou pas) mais quand je passe devant eux, ils étaient exactement calé sur mon chrono prévisionnel ! Donc, jusque là tout allait bien. Sauf qu'il restait la moitié de la course à faire. Et que ça c'est sérieusement gâté.
Je vous épargne les détails, c'était pathétique. Mes petits camarades de clubs qui assuraient la sécurité sur le parcours avaient honte en me voyant passer. Certains m’encourageaient gentiment, d'autres préféraient détourner le regard.
Après la course, quelques amis m'ont fait remarquer que je m'étais levé très tôt pour aller bosser, et que j'avais pris le départ sans avoir avalé ne serait-ce qu'un café depuis la veille. D'autres ont fait remarquer que l'an dernier, il m'aurait fallu un vélo.
Quand je pense que dans 2 mois je suis censé courir pendant 42km, j'ai le vertige... Ca me fait penser à un truc : pour lutter contre le vertige, les alpinistes se servent de grandes rasades de vin chaud.