Samedi, la course internationale, le rendez vous majeur de l'hiver : le 5 km de Malakoff. L'an dernier, un genou en kit m'avait empêché de participer. Je crois même me souvenir que j'étais parti en province pour ne pas voir ça (ou pour aller bosser).
Cette année, la revanche du retour. Le souci, c'est que je n'avance vraiment pas. Hier soir, j'ai fini l'entrainement avec le moral dans les chaussettes.
Pourtant la course de Malakoff, c'est la seule fois ou j'aurais du monter sur un podium. J'avais participé au 5km, il y a quelques années, et le froid polaire avait repoussé de nombreux participants, et congelé mes concurrents. J'avais donc fini 1er Malakoffiot (ce classement n'était pas dans l’Équipe, je me demande toujours pourquoi) et j'aurais du être applaudi à tout rompre par des meutes de fans. Mais non, point de podium. En fait, je n'imaginais pas une seule seconde qu'un tel classement existait, et encore moins d'avoir battu d'autres concurrents, et dés l'arrivée franchie, j'étais rentré me réchauffer et assurer la signalisation de la course suivante. Je me souviens m'être emmitouflé gravement (il faisait vraiment très froid) et avoir avalé un grand thermos de café (officiellement c'était du café). Mes petits camarades de club, jaloux de n'être point les vainqueurs du plus recherché des classements de la plus belle course de l'hiver, avaient omis de me prévenir. Et point de podium, point d'applaudissements, je n'ai pas eu la bise de Miss Univers (au moins), rien, nada. L'occasion était passée.
Cette année, à moins d'une attaque thermo-nucléaire sur la tête de course, ou d'une chute géante, je ne vois vraiment pas comment je peux terminer sur le podium.
En fait, si, il faudrait me faire un classement sur mesure. Ça m'est déjà arrivé. Une année, j'avais participé, en vélo, à une "gentleman" : c'est un contre la montre, à 2, avec un bon (l'autre) et un mauvais (moi). Je n'avais pas été brillant, mais l'organisateur (un ami) avait trouvé comment me faire monter sur le podium : il avait calculé que le kilométrage fait pour participer à la course ajouté à l'age des deux participants était un nombre premier correspondant au carré de l'age de Bernard Hinault (je ne souviens plus exactement de la formule, mais ça devait ressembler à ça). Et hop ! Podium ! Je dois vous avouer quelque chose : ce n'était pas non plus dans l'Equipe. Surement un complot...
Cette année, la revanche du retour. Le souci, c'est que je n'avance vraiment pas. Hier soir, j'ai fini l'entrainement avec le moral dans les chaussettes.
Pourtant la course de Malakoff, c'est la seule fois ou j'aurais du monter sur un podium. J'avais participé au 5km, il y a quelques années, et le froid polaire avait repoussé de nombreux participants, et congelé mes concurrents. J'avais donc fini 1er Malakoffiot (ce classement n'était pas dans l’Équipe, je me demande toujours pourquoi) et j'aurais du être applaudi à tout rompre par des meutes de fans. Mais non, point de podium. En fait, je n'imaginais pas une seule seconde qu'un tel classement existait, et encore moins d'avoir battu d'autres concurrents, et dés l'arrivée franchie, j'étais rentré me réchauffer et assurer la signalisation de la course suivante. Je me souviens m'être emmitouflé gravement (il faisait vraiment très froid) et avoir avalé un grand thermos de café (officiellement c'était du café). Mes petits camarades de club, jaloux de n'être point les vainqueurs du plus recherché des classements de la plus belle course de l'hiver, avaient omis de me prévenir. Et point de podium, point d'applaudissements, je n'ai pas eu la bise de Miss Univers (au moins), rien, nada. L'occasion était passée.
Cette année, à moins d'une attaque thermo-nucléaire sur la tête de course, ou d'une chute géante, je ne vois vraiment pas comment je peux terminer sur le podium.
En fait, si, il faudrait me faire un classement sur mesure. Ça m'est déjà arrivé. Une année, j'avais participé, en vélo, à une "gentleman" : c'est un contre la montre, à 2, avec un bon (l'autre) et un mauvais (moi). Je n'avais pas été brillant, mais l'organisateur (un ami) avait trouvé comment me faire monter sur le podium : il avait calculé que le kilométrage fait pour participer à la course ajouté à l'age des deux participants était un nombre premier correspondant au carré de l'age de Bernard Hinault (je ne souviens plus exactement de la formule, mais ça devait ressembler à ça). Et hop ! Podium ! Je dois vous avouer quelque chose : ce n'était pas non plus dans l'Equipe. Surement un complot...
