Le bout du monde
La météo n’avait rien d’apocalyptique ; elle était bien meilleure que celle annoncée et si le vent soufflait, c’était juste avec seulement quelques rafales aux abords des deux pointes.
Les mille participants partent, à 9 h 30, du centre touristique de la Pointe du Raz, et, après une petite escapade au sémaphore, reviennent sur leurs pas avant d’aborder une belle descente les conduisant à la Baie des Trépassés.
Puis, c’est la montée vers la Pointe du Van, une petite boucle vers la pointe, clin d’œil à l’Île de Sein (qui voit Sein, voit sa fin !) noyée dans la brume, et commence le long cheminement le long de la côte, mais dans les terres, en passant par Cléden-Cap-Sizun, Goulien où huit éoliennes nous tiennent un temps compagnie, Beuzec-Cap-Sizun, Poullan-sur-Mer et nous voilà sur le tapis rouge généreusement déroulé au port de plaisance de Tréboul-Douarnenez.
Un marathon tranquillement mené en 5 h 25’ (semi en 2 h 35’). C’est quand même un peu long !
Sur le parcours, pléthore de signaleurs, de tous les âges - mais particulièrement des retraités. Les communes les plus modestes n’étaient pas en reste avec les leurs.
Voilà, c'en est fait du 43ème marathon d'Henry qui termine 6ème vétéran 4. Un grand BRAVO !
Rendez-vous pour la 4e édition en 2012 (ce marathon se déroulant tous les deux ans) ?
On verra bien !
(1er homme : 2 h 37’ 49’’ ; 1re femme : 3 h 01’ 30’’)
La météo n’avait rien d’apocalyptique ; elle était bien meilleure que celle annoncée et si le vent soufflait, c’était juste avec seulement quelques rafales aux abords des deux pointes.
Les mille participants partent, à 9 h 30, du centre touristique de la Pointe du Raz, et, après une petite escapade au sémaphore, reviennent sur leurs pas avant d’aborder une belle descente les conduisant à la Baie des Trépassés.
Puis, c’est la montée vers la Pointe du Van, une petite boucle vers la pointe, clin d’œil à l’Île de Sein (qui voit Sein, voit sa fin !) noyée dans la brume, et commence le long cheminement le long de la côte, mais dans les terres, en passant par Cléden-Cap-Sizun, Goulien où huit éoliennes nous tiennent un temps compagnie, Beuzec-Cap-Sizun, Poullan-sur-Mer et nous voilà sur le tapis rouge généreusement déroulé au port de plaisance de Tréboul-Douarnenez.
Un marathon tranquillement mené en 5 h 25’ (semi en 2 h 35’). C’est quand même un peu long !
Sur le parcours, pléthore de signaleurs, de tous les âges - mais particulièrement des retraités. Les communes les plus modestes n’étaient pas en reste avec les leurs.
Voilà, c'en est fait du 43ème marathon d'Henry qui termine 6ème vétéran 4. Un grand BRAVO !
Rendez-vous pour la 4e édition en 2012 (ce marathon se déroulant tous les deux ans) ?
On verra bien !
(1er homme : 2 h 37’ 49’’ ; 1re femme : 3 h 01’ 30’’)